Que cherchez-vous ?

Author: Jeunes de Nantes  //  Category: Edito

Nous serions impressionnés en sachant tout ce qui est inventé chaque jour : des choses utiles comme totalement futiles, des inventions bonnes pour l’humanité et d’autres essentiellement mauvaises.
Ce simple constat nous pousse à une remarque évidente : si l’homme est fait pour chercher il est aussi fait pour trouver.
Cependant il existe une grande injustice : pour trouver il faut des moyens. Nous pouvons citer la polémique qu’il y a eu au sujet des dons accordés au Téléthon par rapport à ceux accordés au Sidaction. Pour trouver aujourd’hui, il est nécessaire d’avoir des moyens financiers, humains, technologiques et autres.
Pourtant on rencontre un paradoxe évident. Il se trouve une quête, à la fois primordiale et avantageuse, mais néanmoins fondamentale. L’homme recherche la vie éternelle. La quête du Saint Graal en est l’une des plus connues.
Vous surprendrais-je en vous disant que cette dernière est accessible à chacun et chacune d’entre vous. Chaque homme, qu’il soit riche ou pauvre, illettré ou au contraire érudit, peut aujourd’hui connaître ce privilège extraordinaire de savoir qu’il vivra éternellement.
Nous ne vivrons pas éternellement sur cette terre mais dans un lieu sans heurts, sans violence verbale ou physique. Un endroit où il n’y aura plus de maladie, de souffrance mais où, au contraire, nous serons parfaits en toutes choses.
Quelle vie !!! Et quel contraste avec les difficultés récurrentes que nous pouvons vivre aujourd’hui. Nous souhaiterions tous vivre une telle expérience. Pour cela, pas besoin de laboratoire, de moyens financiers ou d’instruction car le voyage a été payé par Jésus à notre place sur la croix du calvaire. Il a consenti à connaître la mort pour nous permettre de vivre éternellement. Il nous suffit de réaliser l’amour de Dieu donnant sa vie sur le bois de la croix afin de nous offrir ce cadeau fabuleux. Crions à Dieu et acceptons la vie qu’il nous propose.
Vous voyez, cela ne coûte finalement pas grand-chose et peut en fin de compte rapporter gros.

Olivier

Une nouvelle année commence et après ?

Author: Jeunes de Nantes  //  Category: Edito

Loin de moi l’idée de bafouer les traditions. Elles font parties intégrantes de la vie d’une société. Mais il est cependant nécessaire de s’interroger sur le sens profond de certaines d’entre elles.
A l’heure où 2009 se ferme et où 2010 s’ouvre, nous nous souhaitons tous une bonne et heureuse année. Mais finalement nous le savons, ce n’est pas le changement d’année qui apportera le bonheur, solutionnera les problèmes de 2009 ou permettra aux situations non réglées de l’être. Tout ces vÅ“ux pieux sont certes tout à fait honorables et respectables mais totalement inutiles.
Vous voulez une année 2010 réellement heureuse alors voici quelques pistes de réflexions, très sommaires mais néanmoins très pratiques :
1)Prenez votre vie en main et ne vous laissez plus guider par elle. Trop souvent, la vie fait l’homme mais l’homme ne construit pas sa vie. Vous êtes capables de faire des choix par vous-même et ainsi : soit de construire soit de détruire.
2)Ayez de bons repères pour faire de bons choix. Laisser la Bible devenir « une lumière sur votre sentier » plutôt que de succomber aux effets de mode qui sévissent dans tous les domaines de votre vie.
3)Prenez conscience du prix que vous avez. Vous n’êtes pas des numéros mais des « créatures merveilleuses ». Cessez de vous détruire et considérez votre valeur aux yeux de Dieu. Il est prêt à tailler le diamant que vous êtes pour lui donner toute sa valeur.
4)Acceptez l’action de Dieu dans votre vie et son invitation en la personne de son fils unique : « Jésus mort sur la croix du calvaire ».
La liste n’est pas exhaustive mais elle dégage des axes de réflexions qui pourront, je le crois, être salvateur pour certains d’entre nous.
En conclusion, c’est bien plus qu’un changement de date dont il s’agit mais d’un changement de cÅ“ur.
Que le Seigneur grandisse dans votre cÅ“ur, c’est ce que je vous souhaite.

Olivier

Nous ne sommes pas fait pour être seul

Author: Jeunes de Nantes  //  Category: Edito

Lecture : Genèse 2:18

Le jardin d’Eden était un cadre idyllique où Adam avait tout ce qui lui était nécessaire. Il pouvait manger de tous les fruits du jardin hormis le fruit de la connaissance du bien et du mal. Il était en sécurité et surtout il bénéficiait d’une communion avec Dieu. Pourtant Dieu va déceler un manque dans la vie de l’homme. La solitude lui pèse. Pour y remédier, il va lui donner Eve qui sera une aide, une vis-à-vis et une compagne. Ainsi, le bonheur d’Adam sera réellement parfait.

Aujourd’hui, le problème reste plus que jamais d’actualité. Bien qu’entouré de nouvelles technologies et possédant des moyens de communication de plus en plus perfectionnés, le même mal être frappe nos contemporains.

Les formes de solitude ont changé et sont peut-être devenues pire, puisque l’on parle aujourd’hui de solitude au milieu d’une foule. Ce n’est plus le constat d’une réalité comme pour Adam (il était réellement seul en Eden), c’est le sentiment diffus qu’il n’y a personne pour nous prendre en considération. Nous pouvons être seul au milieu d’une multitude, face à un problème, sans que personne ne nous tende la main.

Si avant la chute, Dieu a résolu le problème de l’homme en lui donnant une femme, aujourd’hui l’homme veut plus. En effet, il a besoin de connaître celui qui a été seul pour que nous ne le soyons plus jamais. Jésus a porté sur la croix tous nos manques de manière à ne plus les vivre.

Il a été mis de côté, en tant que bébé car il n’y avait plus de place dans l’hôtellerie. Il a été confronté à l’incrédulité de ses propres frères concernant son ministère sur la terre. Jésus a connu la solitude dans le désert alors qu’il était tenté par le diable. Notre maître a été seul pendant bien des nuits dans la prière et a été laissé par 3 de ses disciples auxquels il avait demandé de prier avec lui à Getsémané. Certains de ceux qu’il avait guéris, criant hosanna à son entré à Jérusalem, furent du nombre de ceux qui hurlèrent : « crucifie-le ». Le pire restait à venir, lorsque sur la croix Jésus poussera ce cri « Père, Père pourquoi m’as-tu abandonné ? ». Dieu le Père détourne le regard de son fils. Jésus se retrouve seul au moment le plus difficile de sa vie sur terre.

Pourquoi une telle attitude de la part de Dieu ? C’est pour accomplir ce que le prophète Esaïe décrit si bien « Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; Et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. ».

Dieu est saint. Il ne peut plus poser son regard sur celui qui est en train de porter tout le péché du monde.

Jésus a été seul afin que nous ne le soyons plus jamais. Il a accepté la séparation d’avec Dieu dans l’intention de nous réconcilier avec Lui. Aujourd’hui, sache que dans tes solitudes tu peux crier à Dieu. Dans tes tentations tu peux compter sur l’aide de celui qui les a vaincues. Dans nos problèmes familiaux nous pouvons être avec Jésus qui les a surmontés.

Serrons dans nos cœurs les Paroles du maître : « Et moi, je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin du monde ».

Sortir de nos prisons

Author: Jeunes de Nantes  //  Category: Edito

Lecture Jean 11

« Lazare sors »

La personne, à qui Jésus donne cet ordre, est un homme qui est mort depuis maintenant 4 jours. La pierre vient d’être roulée et devant les regards ébahis, voici que l’ami de Jésus sort de sa tombe avec ses bandelettes encore sur lui. Jésus vient de ressusciter un mort.

Pour ce qui nous concerne nous sommes bel et bien vivants. Notre cœur bat encore dans notre poitrine. Notre corps ne sent pas et il n’est en rien recouvert de bandelettes. Pourtant cette parole peut concerner au moins deux types de personnes.

La première catégorie concerne les hommes et les femmes qui n’ont pas encore donné leurs vies à Jésus de manière pleine et entière. La Bible nous révèle que nous sommes morts dans nos péchés. Sans la reconnaissance de cet état et l’acceptation de la main que Jésus nous tend pour nous délivrer, nous sommes tous des morts en puissance. Nous sommes des « Lazares » et devons répondre à la voix de Jésus qui nous demande de venir à lui. Il veut nous ramener à la vie et nous faire sortir de la tombe éternelle qui nous attend.

Alors si tu es concerné sors de ton tombeau. La voix du maître retentit. Il t’attend. Laisse-le te rendre à la vie et te délier de toutes les bandelettes qui t’asservissent.

Le second public concerné par cette injonction est composé d’hommes et de femmes qui connaissent Jésus, fréquentent une Église et seront certainement sauvés. Cependant à force de blessures, de déceptions plus ou moins réelles, une partie de leurs cœurs est morte. L’habitude, la routine, le déclin du premier amour sont autant de « petites morts » pour leurs fois respectives. Ils ont l’apparence d’être vivants mais la vie spirituelle les a quittés et a laissé place à de faux-semblants. Pas de bandelettes extérieures mais un cœur en berne. Pas d’odeur nauséabonde mais le parfum de Christ n’est pas présent non plus. Ils ne reflètent plus l’image de leur sauveur, ils ne servent plus et n’ont guère d’impact sur leur génération.

Il est temps de sortir de la tombe dans laquelle tu es réfugié. Tu dois revivre, quitter tes cavernes, et vivre enfin ta foi au grand jour loin du passé et de ses affres. Pour toi aussi la voix du maître retentit « sors de ta tombe ».

En conclusion, peut-être est-ce le temps de sortir de nos « situations mortelles » respectives. Celles que nous connaissons bien et celles que le Saint-Esprit voudra bien éclairer. Sortons afin de vivre et de communiquer la vie. Que notre résurrection soit aussi marquante que celle de Lazare auprès des gens qui en seront les spectateurs.

Olivier

La souffrance n’est plus une fatalité

Author: Jeunes de Nantes  //  Category: Edito

Psaumes 39 : 3

« Je suis resté muet dans le silence ; je me suis tu, éloigné du bonheur, et ma douleur était extrême ». Quelle déclaration de la part d’un homme tel que David. Le mot « extrême » est révélateur car dans le texte orignal il est traduit par « intouchable ».

La douleur de l’homme de Dieu était tellement forte que l’on ne pouvait pas la toucher. Impossible d’y déposer un baume quelconque, d’y apporter une caresse apaisante, de la calmer avec des remèdes humains.

Combien d’hommes et de femmes souffrent du même mal. Une plaie béante est dans leurs vies. Des blessures parfois anciennes n’ont été soignées ni par l’huile ni par le vin. Alors on les cache par pudeur ou par impuissance. On les masque au vu et au su de tous.

Mais elle n’en reste pas moins présente. Elle suinte par tous les pores de notre vie. Les personnes qui nous entourent la perçoivent. Nous sommes irritables, susceptibles, parfois même violents verbalement ou physiquement. Nous ne pouvons pas vivre avec ces douleurs et ne pouvons pas aimer avec ces plaies en nous.

Heureusement, Dieu a pourvu en offrant son fils unique sur le bois de la croix. Jésus a accepté de souffrir afin que nous puissions cesser d’avoir mal. Dans ses meurtrissures nous sommes guéris. Cette guérison concerne le corps mais également le cÅ“ur. Jésus a souffert pour que tu puisses être débarrassé de toutes ces douleurs petites ou grandes qui « pourrissent » ton quotidien.

Laisse Jésus toucher ta vie. Laisse-le approcher de ce qui est intouchable et t’administrer non pas les soins d’urgence mais un traitement adapté à tes besoins. Il connait ta souffrance.

Toutes tes souffrances cachées, dis-les à Dieu, dans le secret de ta chambre. Demande avec le psalmiste « Ecoute ma prière, Eternel, et prête l’oreille à mes cris ! Ne sois pas sourds à mes pleurs ! » (Psaumes 39:13).

Si tu fais monter la prière de ton cœur vers lui et que tu cherches sa guérison alors tu la connaîtras. Tes souffrances il les a déjà portées. Tu peux en être délivré si tu lui confies toute ta vie.

Olivier


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